La perte du capital
Sidi Mohamed se réveilla le soir du lendemain et trouva sa mère qui a passé la nuit en larme. Les deux voisines demandèrent les nouvelles de sa santé, puis le père aussi arriva si tôt inquiet sur son fils. Les parents étaient si tristes et le fils s’interrogeait sur la cause. Le père refusa le thé afin d’économiser du sucre, et consola sa femme de pouvoir sortir de la misère. Maâlem Abdeslam a perdu tout son capital dans la vente enchère des Haïks. Le père déclara son intention d’aller travailler pendant un mois aux environs de Fès. Lalla Zoubida accusa les bracelets et demanda à son mari de les vendre. La mère et son fils resteront seuls et Driss le teigneux, fidèle à la famille, s’occupera des courses pendant l’absence du père.
Le voyage de Maâlem Abdeslam
Le surlendemain à l’aube, Abdeslam quitta sa famille en plein peine et chagrin. L’enfant se sentant abandonné parla de l’importance du père dans la famille et entama une conversation avec sa mère ce qui les soulagea un peu. Fatma entra et donna à Sidi Mohamed qui avait faim un bol de tadeffi chaud. Rahma lui parla de la maladie puis à sa mère de la misère et le voyage du père. Lalla Zoubida demanda à son fils de réciter des versets du coran puis ils déjeunèrent avec deux beignets qui furent cadeau de Mohamed le jardinier le mari de Fatma Bziouya. Après, la mère passa son temps triste et à pleurer et le fils ne cessa de se rappeler les événements passés qui étaient si dures pour un enfant.
Sidi El Arafi
Sidi Mohamed se réveilla, la voix de Lalla Kenza puis de Driss le teigneux attira son attention. En sortant pour aller chez Sidi El Arafi avec Lalla Aicha, Lalla Zoubida n’hésitait pas à raconter les malheurs de sa meilleure amie à ses voisines. Sidi El Arafi est un voyant aveugle recommandé par une certaine Khadouj Lallaouia.
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